Projets et  articles

Keith Haring

Le frigo de Copi

Le jour de son cinquantième anniversaire, L., un ancien mannequin devenu écrivain qui vit avec sa bonne Goliatha, reçoit en cadeau un frigo de la part de sa mère.

Dès lors, que le frigo fait irruption dans leur vie, il faut que l'une des deux entre dedans. Mais laquelle ?

 

  • MISE EN SCÈNE Guillaume Antoniolli
  • INTERPRETATION Fabio Di Domenico
  • AUTRES COMEDIENS Edouard Sibé
  • CONSEIL ARTISTIQUE Valentina Vandelli
  • LUMIÈRE Adeline O’Mallet
  • CRÉATION COSTUMES Jeanne Lébène
 

 

LA PRESSE EN PARLE:

Nos vies - Les hommes perdus

Ainsi nous y voici, nous y sommes, les yeux grands ouverts au-delà de l'impensable, détraqués, malmenés, déjà fourbus et sous surveillance.

Malgré les désordres imposés dans nos vies rendues absurdes, comme teintées d'un gris permanent, le théâtre demeure un acte de résistance par la constitution d'un monde parallèle, créateur de "Nos vies".

Le but de jouer ensemble en tant que troupe de théâtre, dans ce lieu précisément Le Pixel, est de revivre. La magie du théâtre est une sorte d'immanence comme mettre en scène les comédiens des "Hommes perdus" travaillant ensemble depuis plus de 6 années. Retour au plaisirs de jouer des textes d'auteurs qui nous ont fait grandir dans notre vie d'artistes et dans les vôtres.

AVEC Valentina Vandelli, Fanny Lucet, Clément Lagouarde, Roch Debache, et Guillaume Antoniolli
MISE EN SCÈNE Guillaume Antoniolli
CRÉATION LUMIÈRES Adeline O’Mallet

LA PRESSE EN PARLE:

  • Article Strobo Mag

La nuit avant les fôrets - Koltes

Un homme, sans réelle identité outre le fait d'être étranger, en rencontre un autre, et lui demande une chambre pour une partie de la nuit.

Il n'y a donc pas vraiment d'intrigue, sauf peut-être dans les "micro-récits", qui s'entremêlent au propos général. L'homme parle d'une rencontre avec des racistes, d'une nuit d'amour avec un personnage connu sous le nom de "mama", du suicide d'une prostituée, d'une agression dans le métro.

Toutefois, aucune de ces crises ne se déroulent durant le récit : elles le précèdent toutes.

  • TEXTE Bernard-Marie Koltès
  • MISE EN SCÈNE Guillaume Antoniolli
  • COMÉDIEN Clément Lagouarde
  • PHOTOS de Haroun Sai
  • COMMUNICATION Junie Loyer
  • LUMIÈRE Adeline O’Mallet

LA PRESSE EN PARLE:

affiche consumerismeConsumérisme ce sont des personnes qui sont sur scène pour dénoncer la société de consommation

C'est comme un documentaire et chacun prend la parole sur cette société qui déshumanise.

Les comédiens gardent le même nom et prénom que dans la vraie vie

Ils et elles incarnent des grands enfants qui nous emmènent dans des pensées, des émotions, des jeux, des réflexions corrosives sur le monde et sur eux-mêmes.

« Consumérisme » : un mélange  d'observations sur la vie moderne, sur l’obligation de prétendre être quelqu’un d’autre que soi-même sans trouver vraiment une contrepartie libératrice. 

Un chaos théâtral...

Création 2018.

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Affiche en attendant Lagarce

Le samedi 30 septembre 1995, quatre acteurs se retrouvent sur la scène d’un théâtre pour la première répétition d’une pièce de Jean-Luc LAGARCE. Ils ne se sont pas revus depuis longtemps. Dix ans ont passés. De là vont naître des tensions, des secrets révélés. Certains ont réussi, d’autres non mais surtout un des quatre est là pour annoncer sa mort prochaine. Ils sont tous les quatre sur cette scène à attendre Jean-Luc LAGARCE. Viendra-t-il ?

Pris dans ce huis clos, dans cette attente les 4 acteurs, vont au fils des heures faire resurgir les tensions du passé, et les secrets oubliés. L'euphorie aussi des retrouvailles, ce plaisir de rejouer ensemble, sur cette scène, avec ses mots à Lui… les feront retomber dans un jeu enfantin où le plaisir de jouer les envahi tous.

Auteur : Jean-Luc Lagarce 
Artistes : Hind Chbani, Ronny Zuffrano, Séverine Wolff,Guillaume Antoniolli
Metteur en scène : Esther Bastendorff, Guillaume Antoniolli

 

 

LA PRESSE EN PARLE:

logo les 3 coups

On le sait, monter un texte de Jean-Luc Lagarce est une affaire délicate. Comment faire entendre en effet cette langue pleine de méandres, de nuances et de pudeur ? À quelle distance doit-on se trouver pour interpréter ces personnages complexes, à la fois vrais et profondément théâtraux ? C’est une affaire d’oreille, presque musicale. Guillaume Antoniolli l’a compris. Dans En attendant Lagarce , il propose en effet comme des Variations Lagarce *, que ponctuent justement des notes de Bach. 
Plus précisément, il pioche dans différentes œuvres du dramaturge pour élaborer la fable suivante : quatre comédiens qui ont joué ensemble, se sont jadis aimés puis déchirés, se retrouvent un jour dans une salle de théâtre. L’un sait qu’il va bientôt mourir. Tous attendent leur metteur en scène : Jean-Luc Lagarce. Il y a de jolies idées dans le travail de M. Antoniolli. Les ponctuations musicales sont judicieuses et délicates. La vidéo aussi convainc. Loin d’être illustrative, elle nimbe le spectacle de mélancolie. C’est déjà le film que l’on se passera après les funérailles : une trace fragile. Les photographies sont enterrées, l’homme disparaît au milieu des flots, Lagarce ne viendra plus. On retrouve cette idée dans le décor et plus particulièrement dans le voile tendu au milieu de la scène. En effet, ce dernier nous dissimule parfois les personnages. Bleuté comme une couverture des éditions des Solitaires intempestifs, il laisse encore apparaître une ombre : celle de Louis, celle de Lagarce ? 

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